Parler de corruption en Mauritanie, ce n’est pas trahir notre pays, c’est chercher à le réparer. C’est oser regarder en face ce qui ronge nos droits, nos écoles, nos hôpitaux, notre avenir commun.
Parler de corruption en Mauritanie, ce n’est pas trahir notre pays, c’est chercher à le réparer. C’est oser regarder en face ce qui ronge nos droits, nos écoles, nos hôpitaux, notre avenir commun.
La récente communication du Président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, lors du mini-sommet aux États-Unis a suscité de nombreux commentaires.
La rencontre entre les cinq présidents africains — dont le président Ghazouani (Mauritanie), Diomaye Faye (Sénégal), Joseph Boakai (Libéria), Umaro Sissoco Embaló (Guinée-Bissau) et Brice Oligui Ng